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 Good night & Good luck | Miria

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Aaron S. Zimmer

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Good night & Good luck | Miria Vide
MessageSujet: Good night & Good luck | Miria   Good night & Good luck | Miria EmptyMer 2 Sep - 12:17

      - Dieu que ça me déprime ….




    Je poussais un énième soupir alors que pour la quinzième fois consécutive je changeais de position. J’avais tout essayais … vraiment tout. Le bras sur et sous la tête , le coussin dans le dos , sur le ventre ,d e trois quarts sur le côté … même un pied dehors et els bars en étoile. Rien à faire. Mes yeux restaient inlassablement ouverts. Bien sur, ce n’était pas comme si je n’avais pas l’habitude. J’irais pas jusqu’à dire Hélas … mais presque. Pour une fois que j’avais envie de dormir. Il fallait que quelque chose dont je n’ai pas conscience m’en empêche. Il fallait vraiment falloir que je prenne des cours de physionomie humaine avancée !


    En plus, la pleine lune avait eu lieu quelques jours auparavant. Je me sentais réellement fatigué. Mais rien, nada, niet ! J’enviais les autres mecs de mon dortoir qui ronflaient comme des porcs. C’était peut être ça au final que m’empêchait de dormir … Naaa ! Jusqu’à présent, ça ne m’avait jamais empêché de fermer l’œil.


    Je sentais très nettement que c’est aps en partant sur ce genre de débat avec ma petite personne que ça allait arranger les choses. C’est donc avec un nouveau soupir de frustration et d’énervement contenu que je décidais de me lever. Je retins une grimace et un juron lorsque mon pied alla malencontreusement frapper dans ma valise. J’avais toujours été une personne quelque peu bordélique ! Voilà Aaron Sorrow Angelus Zimmer, tu as été puni pour ta négligence. Moi je crois surtout que je commence vraiment à devenir fou. A mon âge ça serait regrettable ! Ppfff la vie est mal faite je vous jure !



    J’enfilais rapidement un tee shirt et un short. Oui depuis quelques années j’avais pris l’habitude de dormir en boxer et souvent même sans rien du tout. Mademoiselles pas besoin d‘essayer de me voir nu pendant mon sommeil, je suis du genre prévenant …



    J’attrapais à l’aveuglette une père de chaussette et atteignit la porte de mon dortoir. Je l’ouvris avec le plus de délicatesse dont j’étais capable. Il était tout de même une heure du matin. Je ne penses aps que mes camarades seraient contents de se faire réveiller à cette heure aussi tardive ou alors aussi matinale … trop matinale.


    Je descendit deux trois marches avant d’en louper une et de finir en bas de l’escalier, la face contre le sol. Un grognement m’échappa. Quelque chose de plus humain qu’animal.



      - Eh merde !



    Finalement j’allais peut être réveillé tous le monde. Mais oui après tout pourquoi se contenter de réveiller les garçons et les filles alors ? Ne faisons pas de sexisme. Je me relevais non sans mal avant de m’avachir tel un pachyderme sur le canapé. Mon canapé ! Ma place attitrée ! Je vous dis je suis une sorte de king ici ! J’aurais bien aimé que Jack partage mon dortoir n’empêche. J’aurais aps eu de remords à le réveiller lui au moins. Mais c’était impossible, on avait aps les mêmes qualités. Bon c’est sur y’avais Miria. Mais déjà de un, impossible d’aller chez les filles. De plus je ne tiens pas à me croûter pour al deuxième fois en peu de temps. De deux, je serais certainement pas accueilli les bras ouverts … quoique ça on sait pas. Mais j’ai bien ma petite idée sur la question.


    Résigné à devoir rester seul, je me calais plus confortablement sur le canapé. La nuit allait être longue !
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Daphné P. Hayes
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Good night & Good luck | Miria Vide
MessageSujet: Re: Good night & Good luck | Miria   Good night & Good luck | Miria EmptyMer 2 Sep - 18:00

    Elle avait longtemps eut peur du noir. Oui, pendant de longues et interminable années, le noir l'avait hanté. Elle restait pétrifié dès que l'obscurité était totale, elle tremblait, et nerveusement, se balançait parfois d'avant en arrière. La phobie du noir lui était passé aussi brutalement qu'elle lui était venue. Pour être sincère, elle n'avait jamais compris ce qui avait fait passer cette affreuse phobie, jamais. Désormais, elle était heureuse que cette phobie lui passe, fort heureusement cette dernière avait disparue peu avant son entré à Poudlard. Ses joues se seraient empourprées devant ses camarades lorsqu'ils auraient appris qu'elle avait peur du noir. Le noir du dortoir l'aurait pétrifié sur place, mais rien à présent ne semblait l'empêcher de dormir paisiblement. Rien, rien, rien, rien, rien hormis cette satanée insomnie. Elle avait peut être les yeux clos, elle avait certes une respiration étrangement calme, mais rien. Elle n'arrivait pas à dormir du tout, non, elle n'y arrivait pas. Elle s'assit droite dans sont lit avant même que vous ayez eut le temps de dire quidditch. Ses yeux bleu grands ouvert, elle poussa soudainement un profond et las soupire. Elle fixait l'obscurité. Elle tourna la tête à gauche jetant un regard assassin à sa voisine qui ronflait comme un sonneur. Et après, elle s'étonnait qu'elle ne puisse pas dormir. Et un second soupire. Elle allait encore devoir avalé la moitié du livre de potion pour trouver le sommeil. Rien qu'à cette idée elle grimaça, las de devoir partager sa chambre avec ces filles. Entre la fille qui ronfle, celle qui est bordélique et l'autre qui se prenait pour la chef, elle avait le pompon dans le domaine des colocataires.

    Un bruit dans les escaliers du dortoir. Elle n'était donc pas la seule insomniaque du bâtiment. Alléluia eut elle envie de crier. Mais, elle ne le cria pas, par respect pour le dortoir. Elle au moins était respectueuse de ses colocataires, quand elle ne s'énervait pas pour un rien, ou lorsqu'elle changeait d'humeur à une vitesse folle, plus rapidement qu'un hippogriffe au galop. Elle sorti ses deux jambes de sous la couette. Le froid glissa le long de sa peau nu, le long de ses jambes. Elle portait une sorte de nuisette avec de fines bretelles, et dont le bas arrivait à mi cuisse. Elle avait un peu froid, mais dans l'obscurité totale, elle ne trouva pas une petite veste. Cette dernière, ou ne serait ce qu'un pull devait être enseveli sous ses livres de cours, comme toujours. Elle chercha à taton une paire de chaussette, ou de chaussons, mais rien. Rien, elle ne trouvait même pas sa baguette histoire de faire un peu de lumière. Elle poussa alors un soupire, et sorti du dortoir à pas feutrés. Lorsqu'elle marcha sur sa paire de chaussette elle s'arrêta pour les enfilé, elle s'en foutait de porter des chaussettes en nuisette, elle avait au moins chaud au pied. Dans le noir, elle s'exerçait à l'équilibriste pour enfiler ses chaussettes. Une, et puis deux. Elle sorti enfin du dortoir des filles, fermant doucement la porte derrière elle. Pas possible, même depuis dehors ont entendait cette fille ronflé. ah... peut être pas, cela venait peut être du dortoir des garçons.

    Elle descendit doucement les escaliers de la salle commune, pour arriver dans le lieu commun, au couleurs rouges et or. La cheminée était devant elle, et quelqu'un semblait affalé dans le canapé, tel un pacha. Elle reconnu à la touffe de cheveux et à la façon de se tenir, un certain Aaron Zimmer, l'un de ses trois meilleurs amis, d'ailleurs il était le seul à partager la notion d'intelligence, et à partager la même maison. Aaron était Aaron, toujours fidèle à lui même. Mirià était toujours fidèle à elle même. Entre Aaron et Mirià depuis quelques temps s'était instauré une sorte de jeu, de jeu. Un cap ou pas cap tellement enfantin à la base. Un cap ou pas cap qui a commencé sur leur note respectives, un cap ou pas cap destiné à leur intellect. En grandissant les enfants changent de jeux. D'abord on Playschool, puis on playmobile, on playstation, et après on plait. Le cap ou pas cap devait de plus en plus adultes, de moins en moins gamin. La sorcière s'avança jusqu'au canapé. Il avait du l'entendre, mais de là à savoir que c'était elle, ah, ah. Elle l'avait reconnu, il n'y avait que lui pour être installer comme ça avec ces cheveux là. Elle était derrière Aaron, machinalement elle lui ébouriffa les cheveux avant de passer par dessus le dos du canapé et de s'allonger sur lui, et rigola :
      - hé la larve de pitiponk, tu prends toute la place !
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Good night & Good luck | Miria Vide
MessageSujet: Re: Good night & Good luck | Miria   Good night & Good luck | Miria EmptyMer 2 Sep - 18:45

    Le pire dans toute cette nuit agitée, c’était que j’avais vraiment rien pour m’occuper. Ce n’était pas la première fois que je descendais en plein milieu de la nuit pour me vautrer sur un canapé. Mais bizarrement, je trouvais toujours quelque chose à faire. Lire un livre, finir un devoir, dessiner … parfois me^me compter le ploc ploc incessant des gouttes de pluies qui tombent sur la vitre. Cela ne m’aidait pas à m’endormir pour autant…ça faisait juste passer le temps. Mais aujourd’hui rien ! Mais vraiment ! A un point que j’en devenais rageur. Je n’avais pas envie de lire. J’avais eut le malheur de finir l’intégralité de mes devoirs ma vieille de bonne heure. Ah si j’avais un devoir à Jack. De dépit et de pitié je lui avais promis de le faire. Non mais auriez vus a tête ! Même un veracrasse en aurait eut pitié ! Je vous jure, une cata quand il s’y met. De toute façon, le devoir n’était pas pour le lendemain. Je n’avais donc pas à me lever. Cela me semblait être un effort in considérable. Surtout pour Jack en fait. Bah quoi, ce n’est pas parce que c’est mon meilleur ami que je dois faire des efforts. Des efforts j‘en fais en plus, je fais souvent ses devoirs ! Normal je suis beaucoup plus intelligent que lui.



    Je poussais un profond soupire avant de fermer les yeux et de laisser apparaître un petit sourire sur mon visage. Je laissais peu à peu les pensées agréables m’envahir. Je n’en trouverais pas le sommeil pour autant. Mais au moins ici j’étais à l’abri des ronflements sonores. Chose non négligeable Je crois que bientôt je vais investir dans des boules quies. J’en aurais pour mon argent.



    Je ne sais pas combien de minutes oud e secondes s’étaient écoulés depuis que je m’étais avachi sur le sofa mais quelques pas retentirent dans les escaliers. Ma supra ouie m’indiqua le dortoir des filles. J’espérais secrètement que cela ne soit pas une groupie. Je n’étais aps d’humeur à bavasser avec une greluche. Enfin les filles comme ça devait dormir à point fermé pour avoir un bon teint.



    Je laissais la personne approcher, bien décider à lui faire la peur de sa vie lorsqu’elle se pencherai au dessus de moi. Chose qui n’arriva jamais. Je sentis deux mains fines passaient dans mes cheveux et les ébouriffer. Je n’eut même pas le temps de pousser un grognement de colère que déjà une masse s’abattit sur moi. J’esquissais un sourire. Cette odeur de fleurs et de vaille. Je la connaissais que trop bien.





      - hé la larve de pitiponk, tu prends toute la place !
      - Humm la situation n’est pas déplaisante très chère.





    Je ne pris même pas la peine d’ouvrir un œil. Il n’y avait que Miria pour me parler comme ça. Les autres se contentaient souvent de me dire que j’étais beau. Non non aucune n’irai me comparer avec une larve de pitiponk. J’esquissais un sourire en coin. Mon bras libre – l’autre étant sous ma tête – s’enroula autour de la taille de la jeune fille. Tout à coup, je fus bien décidé à me venger de fait que j’étais « une larve de Pitiponk ». Un sourire quelque peu sauvage remplace le rictus. Mes doigts commencèrent à courir sur le buste de mon amie. Je savais Miria chatouilleuse et j’allais en profiter. Subitement, j’arrêtais mes pseudos caresse pour me mettre réellement à la chatouiller. Sans la voir je savais très bien qu’elle se retenait de rire.


    J’ouvrais les yeux lorsque son premier éclat de rire me parvint. J’arrêtais aussi vite que j’avais commencer. Je redécouvris ses yeux bleus. Elle me fixait. J’aurais pu en paraître étonné. Ce ne fut pourtant pas le cas.





      - Au fait, j’ai trouvé ton nouveau défis ma belle !




    Un sourire malicieux m’échappa. Celui là, elle n’allait pas s’en remettre. Le cap ou pas cap quel merveilleux jeu. Miria et moi y jouions depuis notre deuxième année. Au départ c’était bien gentillet mais maintenant … c’est de plus en plus intéressant. J’adore jouer avec Miria. C’est une adversaire redoutable. On a la même intelligence. Ce qui souvent complique la chose. Le même esprit tordu aussi.
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Daphné P. Hayes
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Good night & Good luck | Miria Vide
MessageSujet: Re: Good night & Good luck | Miria   Good night & Good luck | Miria EmptyMer 2 Sep - 19:17

    Mirià et ses meilleurs amis, de l'affection pure et dure. Larve de pitiponk, lorsqu'elle vous dénommait ainsi, vous pouvez être fière, elle vous tient ainsi en haute estime. Être dans l'estime de la sorcière n'était pas une mince affaire. Après sa jumelle, peu de monde y avait accès. Lollà était tout pour elle, elle était même plus que ses meilleurs amis, Lollà était purement et simplement sa moitié, sa vraie, pure, et tendre moitié. Elles avaient grandit ensemble, pendant de longues années elles s'étaient habillées pareille, elles avaient manigancé contre leur frère et leur mère, pour rire ou pas, elles avaient essayés d'inter changer leur place. Mais aujourd'hui, elles étaient incapable de prendre la place de l'une et de l'autre, non. Mirià en était d'ailleurs un peu attristée, oui, finalement c'était peut être la preuve que toutes les deux s'éloignait l'une de l'autre. La sorcière chassa cette pensée et revint à son meilleur ami, Aaron. Aaron, elle se servait de lui comme canapé, c'était évidement pour rire, c'était évidement pour rire qu'elle le traitait de larve de pitiponk, n'importe quel serpentard, gryffondor, serdaigle ou poufsouffle se serait senti insulté par les propose de la sorcière ( sauf jack et Elliot ), mais c'était un moyen détourner de lui dire « Coucou aaronounet adoré », mais de façon moins greluche et moins groupie. Mirià n'était pas la groupie, elle la fille qu'on enviait pour avoir comme meilleurs amis trois aussi beau garçon ( bien que certains d'entre eux soient affreusement prétentieux ), elle était contente qu'ils soient ses amis, elle se foutait bien des autres.

    D'après Aaron la situation n'était pas déplaisante. Oui, après tout, beaucoup de fille l'aurait tuée, elle, pour être à sa place à elle. Oui, couché sur Aaron Zimmer, c'était le rêve de beaucoup de fille après tout. Face à face avec lui c'était aussi ce que voulait beaucoup de fille. Sincèrement, elle trouvait toutes ces filles dingues de garçon au point d'en hurler affreusement débile. Bien sûr elle n'était pas ce genre de fille, lorsqu'un garçon lui plaisait, elle ne faisait pas la groupie écervelée, non , elle y allait au tac o tac, et basta. La sorcière allait répliqué une chose à l'attention du jeune homme sur lequel elle était couché, ventre contre ventre. Mais quelque chose l'en empêcha. Le bras libre du sorcier s'enroula autour de la taille de la sorcière. Elle sourit brièvement avant de comprendre le fond de sa pensée. Il connaissait un de ces points faibles. La sorcière était chatouilleuse, oui, vraiment. Pas ça, pensa t elle. A mesure qu'il la chatouillait, elle retenait son rire, gesticulant nerveusement. Soudain, au bout de quelque temps, elle laissa échapper un rire, elle essayait d'attraper le bras d'Aaron pour qu'il arrête, en vain, lorsqu'elle riait, elle fermait les yeux. - Arrête ! , gémit elle en riant. Il cessa de la chatouilla, elle rouvrit alors ses grands yeux bleu, le fixant. Étrange situation n'est ce pas.

    Les yeux de la sorcière s'ouvrirent un peu plus lorsqu'il lui annonça qu'il lui avait trouvé un nouveau défis. Enfin, pensa t elle. Elle avait hâte de savoir. Les petits défis entre adolescents étaient quelques chose qui lui plaisait drôlement et qui l'amusait véritablement. Oui, le jeu entre Aaron et elle était véritablement passionnant, il était a sa hauteur, en seconde année, il y avait sans doute Elliot et Jack qui jouaient avec eux, mais ils avaient rapidement abandonnée, battue à plate coutures par les deux cerveaux de l'équipe. Ils avaient le sens de la réflexion, la capacité de mesuré chacune de leur idée. Au début il s'agissait de défis tellement anodin enfantin, mais avec le temps, les jeux d'enfant deviennent de moins en moins innocent. Mirià adorait jouer avec Aaron, adversaire redoutable. Même s'il était son meilleur ami, dans ce genre de jeu, tout les coups étaient permis, oui, tous. La sorcière esquissait un sourire approbateur. Elle était toujours couchée sur lui, pas question de s'en lever tant qu'il ne l'aurait pas mise par terre, ou tant qu'il ne lui aurait pas demander de partir. La devise de Mirià, «  j'y suis, j'y reste ! »

    - Je t'écoute, mon beau, dit elle avec sa malice habituelle. elle le fixait tout en souriant. Elle avait véritablement hâte de savoir. « mon beau », elle répondait à son « ma belle », c'était comme ça, elle répondait toujours mots pour mot. Aaron avait lui aussi répondu à son «  larve de pitiponk » en la chatouillant, c'était ainsi.
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MessageSujet: Re: Good night & Good luck | Miria   Good night & Good luck | Miria EmptyMer 2 Sep - 20:03

    Je vis très nettement que j’avais capté son attention. Ses yeux brillaient d’une drôle de façon. Intéressée voilà ce qu’elle était. Je perçus le vestige d’une petite larme de rire au coin de son œil. Je la chassais avec mes doigts. Mon deuxième bras rejoignit le premier. Ma tête reposait seulement sur l’accoudoir. Situation peu confortable pour ma nuque. Je pouvais toujours demander à Miria de me masser. Oh oui excellente idée.



    Finalement je laissais tomber mon pari initial. Je le gardais pour plus tard. Je savais que je pourrais le ressortir au bon moment. Il était si osé qu’il en était d’avance hilarant. Mon côté tordu n’était déjà plus à prouver. Surtout aps à Miria. Elle me connaissait par moment mieux que mon meilleur ami. C’est pour dire. Le fait que l’on passait souvent des nuits blanches à papoter et à chahuter y était pour beaucoup. Notre jeu préféré en dehors du cap ou aps cap : la bataille de polochons. J’adorais. Dans ces moments là, j’essayais de ne pas trop me servir de ma force physique. Je n’aimais pas la triche. Une fois j’avais même renoncé à me défendre. Miria m’avais étalé au sol à la manière d’un rugbyman. Je n’avais pas eu mal. Mais j’avais beaucoup rit à son air farouche de guerrière. Ma guerrière à moi tout seul. Elliot en serait jaloux.



    D’ailleurs si il voyait notre position actuelle … J’aurais certainement plus de tête. Peut être que Miria m’aurait défendu mais rein n’était moins sure. Ils s’entendaient bien avec Elliot même si elle avait des choses à cacher. Des choses qui le consternaient. Je n’ai jamais compris l’exactitude de leur relation. Et pourtant je suis intelligent. J’ai seulement arrêté de chercher. C’est mignon certes mais c’est tout. Ce sont mes amis et je les soutiendrais aussi. Je n’en serais jamais jaloux … enfin je l’espère. Ce n’était aps dans ma nature. Miria était une fille géniale et Elliot aussi. Mais c’est on jamais. Il se passe tellement de choses dans ma vie.




    Je souris lentement avant de refermer les yeux. J’étais bien décidé à la faire patienter pour le coup. Et puis, je lui servait peut être de canapé mais elle de radiateur. Que c’était confortable. Une petite tape sur mon flanc me rappela à l’ordre. Mes bras se resserrent autour de sa taille et je nous fis basculer sur le canapé. Elle était plus sur moi, mais calé contre mon corps dans mes bras. C’était à ce moment là que l’on remarque que le canapé est petit. Seul ça va, à deux ça devient plus compliqué.





      - J’ai bien envie d’un petit massage, j’ai le dos en compote et la nuque raide. Alors cap ?





    Un sourire suggestif m’échappa. La demande n’était pas non plus innocente. De toute façon, toute demande de ce genre n’est jamais innocente. Il faut juste être stupide pour ne pas le comprendre. La question cap était une simple formalité. Je la savais capable de tout. Ceci n’étant pas bien compliqué de plus. Et puis ça m’arrangeait bien. Ma masseuse professionnelle et personnelle. C’est qu’elle commençait à en avoir des noms. Oh oui Elliot serait vert.



    En essayant de ne aps faire tomber mon amie, meilleure amie. Je me redressais légèrement et enleva mon tee shirt. Finalement, j’aurais jamais du le mettre. Je dévoilais ainsi mon torse halée et musclée. Seulement ponctuée de quelques cicatrices. Vestiges des nuits de pleines lunes. Je changea ma position et me coucha sur le ventre, prêt à recevoir son bon soins.
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MessageSujet: Re: Good night & Good luck | Miria   Good night & Good luck | Miria EmptyMer 2 Sep - 21:09

    Les paris, ça la connaissaient. Le cap ou pas cap était une sorte de question rhétorique à laquelle elle n'avait nullement besoin de répondre. Du moins pas Aaron. Intrépide, intrépide, voilà ce qu'elle était. Elle n'avait pas froid aux yeux. Si l'on ne peux pas ne pas avoir froid aux yeux avec ses amis, alors avec qui peut on ne pas avoir froid aux yeux ? L'intrépide Mirià patientait. Elle voulait savoir, oui, elle voulait, il avait pris cette fâcheuse habitude, celle de la faire languir, connaissant son impatience, encore un défaut du à son caractère pétillante et énergique. Aaron chassa une larme au coin de son œil, résidu de la phase chatouillage. Elle attendait, encore. Elle aurait pu en attendant sa réponse, le brusquer en essayant de le mettre en bas du canapé, bien qu'elle aurait bénéficié de l'effet de surprise, elle n'aurait pas forcément fait le poids face à lui. Bien que joueuse de quidditch elle avait de la force dans ses petits bas, elle restait poids mouche face à lui. Bien que la position fut confortable, et qu'il fut un canapé mémorable, elle détestait qu'on la fasse languir de la sorte. Elle lui donna un tape sur le flan, et fit « les gros yeux », vous savez le regard pas méchant qui veut dire « allez dit moi !! ». Elle voulait le faire réagir, c'était bien réussi, oui, il avait réagit, bien ou mal, elle ne savait pas, mais il avait réagit. Elle ne se trouvait non pas sur son canapé ( = Aaron ), mais contre lui. Une seule chose vint alors à l'esprit de la sorcière, Aaron était gros ( ou musclé ), parce qu'elle n'avait plus de place sur son canapé !

    Un massage ? Bien sûr qu'elle était capable de le faire. Toujours partante, toujours prête ( comme les scouts moldus vous savez les catho avec leur petits foulard autour du coup qui chantent des chansons autours d'un feu et qui se font appeler par des nom d'animaux. ). Un massage, décidément, il la sous estimait. Sa demande était accompagné d'un sourire qui ne faisait de lui un innocent, mais ne dit on pas qu'aucune demande est innocente ? Elle laissa apparaître un sourire sur ses fines lèvres, rien que ce sourire était le signe qu'elle était cap. Mirià était capable de tout, comme de n'importe quoi, de la pire connerie de gamin, au reste beaucoup moins enfantin. Mirià faillit tomber du canapé lorsque sont meilleur ami se redressa pour enlever son t-shirt. La moitié des filles lui auraient sauté dessus. Non, lorsqu'on voit grandir quelqu'un, on résiste à la tentation, ce n'était pas comme si c'était la première fois qu'elle voyait le torse de son ami, il y avait quelques cicatrice, n'importe quelle groupie aurait posé des tonnes de question et l'aurait idolâtré en guerrier, mais non, pas mirià, il était loup, elle le savait point barre. Il s'allongea sur le ventre. Mirià n'était pas la pro des massage, quoi que.

    La sorcière se leva un instant du canapé pour le laisser s'installer sur le canapé, sur le ventre. Elle tira vers le bas sa chemise de nuit, histoire d'être bien habillée ( déformation professionnelle ). Une fois bien installé, elle s'installa à califourchon sur lui. La position suggestive, et alors ? Elle commença à le masser doucement. Elle avait les ongles un peu long, assez pour qu'ils soient beau, mais pas assez pour lui lacérer le dos. Elle commença par le haut du dos, en faisant glisser ses mains le long de sa colonne vertébrale. Les mains de Mirià étaient douces, oui, elle prenait soin de sa peau. Elle n'était pas professionnelle du massage, elle se débrouillait. En faite, on ne peut mesurer soit même son talent de massage puisqu'on ne peut se masser soit même. La sorcière poursuivit son massage dans le bas du dos, puis tout en massant en remontant le long de sa colonne, elle lui massa les cervicales. Évidement qu'elle était cap de le masser, de lui masser le dos et les cervicale. Elle aussi aurait bien voulu d'un massage, mais elle ne pouvait pas enlever son t-shirt avec l'aisance d'Aaron. Elle s'arrêta au bout d'un long moment, elle cessa le massage, revenant une dernière fois sur le bas de son dos. Elle resta un peu assise sur lui à califourchon. Elle esquissa un sourire satisfaite. Elle se pencha alors vers l'avant pour murmurer à l'oreille d'Aaron :

    - tu as vu, je suis cap... elle marqua une pause, toujours couché sur lui, enfin assie à califourchon, mais penché suffisement pour pouvoir murmurer à son oreille, comme si c'était pour ne réveiller personne dans le dortoir, elle continua alors, j'ai un petit défi pour toi, commença t elle. elle marqua une pause pour le faire languir, elle espérait le faire languir autant qu'il l'avait fait languir l'instant d'avant. J'ai froid, confia t elle alors. Cap de rémédier à ça sans me jeter dans la cheminée ? dit elle alors en souriant de façon malicieuse. cette demande n'était pas innocente n'est ce pas ? elle était aussi osé, aussi tordue que celle d'Aaron. Elle se releva doucement pour revenir à califourchon sur lui, puis, elle se leva de cette position, passant les deux jambes du même côté, en bas du canapé, et s'assit sur le bord, poussant légérement les jambes de sorcier pour pouvoir s'installer. Par déformation professionnelle, elle croisa ses jambes, puis tourna la tête vers aaron, pour lui adresser un sourire suggestif. Mirià ne mentait pas, elle avait froid, normal, elle n'avait pas trouver son pull dans sa chambre. Bien que la demande puisse paraitre tordue, il y avait un fond de vérité, il faisait froid.
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MessageSujet: Re: Good night & Good luck | Miria   Good night & Good luck | Miria EmptyJeu 3 Sep - 10:31

    J’attendais patiemment que ma jeune amie commence à me masser. Elle n’avait pas l’air pressé. Juste retour des choses. Je l’avais fait languir, elle faisait pareille. Quoi de plus juste. Je savais de toute façon, que je n’allais pas être déçu. J’avais déjà eu l’occasion de me faire masser par Miria. Je ne l’avais jamais regretté. Elle avait des doigts de fées. Se sentit Miria se lever légèrement. Cela me permit de mieux m’installer. Bien sur je prenais maintenant les trois quarts du canapé. Mais fallait bien que je me mette à l’aise tout de même.




    Je sentis également Miria s’installer sur le abs de mon dos. Légèrement sur mes fesses aussi. Ses doigts bien que doux étaient froid sur ma peau chaude. Mais c’était une véritable délice. Je ne pus m’empêcher de soupirer de bien être lorsqu’elle commença à me masser le abs du dos. Je m’étais bloquer le bassin lors de notre dernière escapade nocturne mensuelle. J’en avais souffert pendant un jour. Sans que je m’en rends vraiment compte mon esprit se vida. Je commençais à légèrement m’assoupir. Un sourire fendit mon visage lorsqu’elle s’attaqua à mes cervicales. Cela faisait un bien fou. Elle ne devait pas en être consciente.



    Un grognement sourd de frustration passa mes lèvres. Elle venait de s’arrêter. Je commençais à peine à réellement m’endormir. La vie est réellement mal faite. Je bougeais légèrement pour lui demander de continuer. Ma prière ne fut pas exaucée hélas …. Je sentis ses cheveux me caresser le dos. Je devinais sans mal qu’elle s’était penchée sur moi. Son souffle dansait dans mes cheveux châtains et chatouillait ma nuque maintenant relaxée.




      - Tu as vu je suis cap
      - J’ai vu ça ….



    Ma voix était peu audible mais je savais qu’elle m’avait entendu. Finalement, j’allais peut être réussir à finir ma nuit. Enfin à la commencer. Un sourire en coin se figea sur mes lèvres. Elle avait un défi pour moi ? Diantre quoi de plus excitant que les défis de Miria….surtout à deux heures du matin. Qu’est qu’elle allait encore me demander. J’avais eu un mal fou à faire son dernier défi. Il fallait d’ailleurs que je m’en venge. Mais sans spectateurs, la chose était moins drôle. Mon sourire s’agrandit. Miria était toujours pleine de surprise. Voilà maintenant qu’elle avait froid. Je n’eus aucun mal à deviner la suite mais je l’attendais tout de même. Cap de remédier à ça sans me jeter dans la cheminée ? me dit elle. Je ne répondis même pas. Elle savait déjà que j’en étais largement capable. Il fallait juste choisir la méthode. Facile de réchauffer une fille … mais là on parlait de Miria. J’avais pas envie de me retrouver castrer. Je tenais à ma virilité. Après je n’étais pas sure qu’elle n’attendait pas que ça justement. Mais j’avais des doutes. Je secouais la tête. Il ne fallait pas laisser mes hormones prendre le dessus. J’étais bien trop jeune pour mourir.



    Le poids sur mon dos disparut. On poussa mes jambes et je me redressais en position assise. Un sourire amusé vint se peindre sur mes lèvres. Rien que son air innocent parlait pour elle. Je ramassais mon tee shirt et le lui mettait dessus. J’enlevais ensuite mon short que je lui enfilais. Je regardais mon boxer, mon unique vêtement. Non celui là, j’allais le garder. C’est qu’elle était sexy avec mes habits en plus. Je m’étirais bravement en baillant. Mes bras s’enroulèrent autour de sa taille fine alors que je l’attirais à moi. Sa poitrine reposait sur mon buste et sa tête dans mon cou. Mes mains frictionnèrent son dos, ses jambes nues et ses petits pieds.




      - Alors on a plus chaud ou je change de méthode ?
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MessageSujet: Re: Good night & Good luck | Miria   Good night & Good luck | Miria EmptyJeu 3 Sep - 14:17

    Frileuse. Frileuse. La sorcière aux cheveux bruns et aux yeux couleur océan était une frileuse. Elle avait souvent froid, elle était souvent frigorifié. Si souvent. C'était paraît il un problème de circulation sanguine. Dès que le froid envahissait le château, elle était frigorifié, pas étonnant de la voir en plein mois d'octobre avec une écharpe et un pull d'hiver dans le parc. Là, elle avait eut froid, malgré la cheminé, après tout vêtue de la sorte, elle ne pouvait qu'avoir froid, sa chemise de nuit était assez légère. Le bazar constant de livres dans sa chambre l'avait empêché de trouver son pull, ou quoi que ce soit d autre qui aurait pu lui tenir chaud. Le seul moyen qu'elle avait de se réchauffer était Aaron ( ou bien il y avait également la cheminé, mais bien qu'elle soit à côté, sa chaleur semblait faible, à part se jeter dedans, elle ne voyait pas comment faire. ). Le défis de Aaron était simple, elle avait déjà plus d'une fois demandé plus dur, et il avait faillit échoué la dernière fois, elle s'en souvenait très bien. Mais, pour une fois, elle ne demandait pas la lune, juste un petit service, comme ça. . Réchauffé quelqu'un peut se faire de plusieurs manières possibles et imaginables. Certains manières étaient peu catholique, et par principe, si Aaron tenait l'une de ces manière, elle se jurait de le castrer. Du moins, ça c'était l'idée première. Il restait les manières de réchauffé classique frictions, et tout ce qui allait avec.

    Comme réponse à son défis, Aaron se redressa, et s'assit. La sorcière remarqua que sur ces lèvres se dessinait un sourire amusé. ça c'était Aaron. Elle souriait la plupart du temps, tout comme lui. Toutefois, chacun de leur sourires étaient différent, chacun avait leur propre signification. Elle le vit ramasser son t-shirt et le lui mettre dessus, la sorcière sourit alors. Puis ce dernier enleva son short et le lui enfila. C'est qu'elle avait fière allure toute vêtue de Aaron. Ses vêtements n'était guère plus chaud que les siens, mais une couche de plus réchauffait tout de même un peu, n'est ce pas. Vêtue de la sorte, Jack lui aurai rit au nez, s'il l'avait vu habillée ainsi, elle en aurait entendue parler jusqu'à la fin de ses jours. Mais heureusement, ( et ce pour plusieurs raisons ) jack n'était pas là, ni Elliot d'ailleurs, Elliot ne serait sans doute pas moqué d'elle, il aurait gardé cet habituel silence qui lui est propre, ce silence. La sorcière n'était pas des plus sexy vêtue de la sorte, mais bon, c'était ainsi. Mirià ne se ressentait pas le besoin d'être sexy à chaque instant, parfois nous avons juste envie d'être nous même, sans faire de chichi. Vêtue de la sorte, elle se trouverait sans doute horrible, mais à part Aaron, qui la verrait ainsi ?

    Il avait essayé, mais résultat des courses, elle avait toujours froid. Elle allait sans doute répliquer que pour une fois, il avait échoué à son défis. Elle se ravisa lorsqu'il bailla, et lorsque les bras du sorcier s'enroulèrent autour de sa taille. La sorcière attiré à lui posa sa tête dans son cou, sa poitrine contre son buste. Des dizaines de filles auraient tué la jeune sorcière pour se retrouver à sa place ne serai ce que quelques secondes. Les mains du sorcier lui frictionnaient le dos, ses jambes nu ainsi que ses pieds qui étaient aussi froid que de la glace. Ses pieds étaient toujours d'un froid incroyable, même en plein été et avait les pieds froids. Mine de rien, Aaron faisait office d'un radiateur très efficace. Dire qu'elle avait froid serait un mensonge, dire qu'elle avait réellement chaud serait aussi mentir, la vérité était que la sorcière était réchauffé voilà tout. Et en bonne gryffondor qui se respecte, elle devait la vérité, lorsqu'il lui demanda si elle avait plus chaud, ou s'il devait changer de méthode, la sorcière sourit alors. La position était assez agréable, elle avait presque envie de s'endormir désormais, oui, presque envie, s'il n'avait pas parler, elle était certaine qu'elle se serait tout bonnement endormis dans ses bras... Mais, elle décida alors de lui la jeune fille se détacha un peu de l'étreinte du jeune homme, elle regardait de ses yeux bleus en souriant.

    - Ca va, tu te défends, j'ai un peu plus chaud ! Dit elle avec un sourire. Il avait beau être deux heures du matin, sa voix n'était pas celle d'une endormie. Le voix d'endormie était lorsque Mirià se réveillait le matin, pendant environs dix minutes ( ou un quart d'heure selon les jours ), il ne fallait pas lui parler, sinon, à vos risques et périls, ceux qui s'y aventuraient risquaient de mal s'en sortir.

    ( désolé, c'est nul, mais j'ai rien à dire *zbafffffffffff* )
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MessageSujet: Re: Good night & Good luck | Miria   Good night & Good luck | Miria EmptyJeu 3 Sep - 19:36

    Lorsque j’avais commencé à la frictionner, elle avait la chaire poule. Au fur et à mesure celle-ci disparaissait. C’était la preuve que je commençais à réussir mon pari. L’air de rien réchauffer une demoiselle trop fileuse ça peut être compliqué. Mais bon, pas assez pour moi en tout cas. Oui tout de même, j’ai un cerveau pour réfléchir. Contrairement à certaine personne, je savais m’e servir. Rigolez mais ce n’est pas donné à tout le monde ! Souvent pour des choses toutes bêtes, on ne savait pas trop comment d’y prendre. Cela ne m’avait jamais posé un quelque conque soucis. Puis Miria avait toujours froid. C’est quelque chose qui m’avait toujours secrètement impressionnée.



    Oh oui, il n’était pas rare en plein hiver de lui prêter ma veste. Elle avait déjà la sienne plus quelques pulls. Un vrai oignon. Mais gentleman oblige. Bon c’est sur, après c’est moi qui me caillé les miches. Ce n’était pas toujours agréable. Finalement, j’avais laissé cette dure besogne à Elliot. Cela lui faisait plaisir. Et moi ça m’arrangeait. Je ne suis pas égoïste. Jack n’avait jamais prêté sa veste lui. Je suis gentil mais je veille tout de même à mon bonheur personnel. Pas tout le temps, juste par moment. Surtout lorsqu’il fait aux alentours de moins quelque chose.




    Mes mains continuèrent à apporter la chaleur promise. Le souffle de Miria me caresser le cou. Ce n’était pas désagréable. Cela serait mentir que de le prétendre. Je n’aimais pas Miria et je le sais très bien. Elle était certes très attirante … à sa manière. Mais je n’étais pas amoureux d’elle. Je crois n’être jamais tomber amoureux. Cela règle le problème. J’aime les filles mais pas en amour. Ou alors pas comme vous l’entendez. Non non, je ne suis pas attirée par les mecs. J’aime trop els jambes fines et les poitrines voluptueuses pour ça. Je la sentais se détendre de plus en plus dans mes bras. Manquerait plus qu’elle s’endorme. Servir de canapé pour une heure ou deux oui. Pour quelques heures de plus non. Je ne suis pas non plus un bon samaritain. J’aime embêter mon monde.




      - Ca va, tu te défends, j'ai un peu plus chaud !





    Je soupirais en levant les yeux au ciel. Miria pouvait être extrêmement avare des compliments. Elle avait juste un peu plus chaud d’après ses dires. Elle avait carrément bien plus chaud oui ! Les filles je vous jure. Un rire m’échappa. Pas assez fort pour réveiller du monde mais assez pour être entendu de Miria. Je décidais de bonne grâce à lui laisser mes vêtements. J’enlevais même mes chaussettes et les passer par-dessus els siennes. Ainsi vêtue, elle allait faire des malheurs. Je n’en avais pas besoin. Héritage lycan. J’étouffais un autre bâillement. Je vais quand même pas commencer ma nuit maintenant ? M’entendais je dire à voix basse. C’était d’une illogisme pur c’est certain. Je me levais, attrapais Miria et la soulevais. Je la reposais au bout du canapé. Ma tête reposa sur ses jambes. Celles-ci me servaient maintenant d’oreillers. Elle le devait bien ça, elle avait tous mes habits. Je l’entendis rouspéter, mais elle ne fit rien pour se dégager. Je souris. Fais pas te tête de cochon ma belle lui dis je avec un sourire malicieux. J’adorais quand elle prenait son air bougon. C’était vraiment très drôle et comme j’adorais également la taquinais ….Bizarrement, le sommeil ne vint plus. Un sifflement de frustration m’échappa. Je n’aspirais pourtant qu’à dormir. Enfin visiblement non ….
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MessageSujet: Re: Good night & Good luck | Miria   Good night & Good luck | Miria EmptyJeu 3 Sep - 20:32

    Avare sur sur les compliments. Avare sur ses sentiments. Avare sur les mots parfois. Mirià était avare de beaucoup de chose, avare en amour par dessus tout. Depuis quelques temps, l'amour c'était bien quelque chose qu'elle gardait au plus profond d'elle. Les histoire d'amour sans lendemain avait fini de briser la sentimentale qu'elle était. Elle était sentimentale. Il est certainement assez dure de le croire, mais cette phase est derrière elle. Elle avait dépassé le stade premier amour déçu, et était passé à la phase « l'amour est la chose la pire qui existe. », pauvre fille, comme le dit un réalisateur français, une femme sans amour est comme une fleur sans eau, elle dépéri. Mirià ne dépérissait pas, non. Je suis romantique, mais je me soigne disait elle avant. Aujourd'hui, elle passait progressivement au stade, je suis une peste mais je me soigne. Mirià était un peu un peste depuis près d'un an. Sans doute que la notion « un ans » n'est anodine, la date de son premier véritable et dernier chagrin d'amour ( vous savez LE premier amour, mais au bout de peu de temps vous vous rendez compte que ce type n'est rien d'autre qu'un connard de première et qu'il se sert de vous pour atteindre une chose, ce que les filles gardent pour le grand amour, la première fois. ). Mirià la romantique c'était effacée, et avait laissée sa place à Mirià la peste. Mais avec ses amis, elle était restée la même, énergique, dynamique, enjouée, drôle et caractérielle.

    La nuit allait être longue, le sommeille qui avait faillit s'emparer d'elle lorsqu'elle était dans ses bras semblait belle et bien faire parti d'un autre temps, comme si ce dernier c'était évadé à la vitesse de la lumière dans une brèche temporelle. La sorcière était en pleine réflexion philosophique sur la disparition de son sommeille. Oui, la sorcière était philosophe, parfois elle aimerait avoir sous la main un des médicament de son moldu de père qui lui donnait le sommeille. Aaron la tira brutalement de ses pensée ( mais elle resta zen et ne laissa pas transparaitre sa surprise, elle avait le self contrôle. ). il quitta ses chaussettes pour les enfilé à son amie de sorcière. Ah, elle a&vait enfin chaud aux pieds. Il laissa échapper un bâillement qui force mirià a en laisser sortir un à son tour. Puis, ce dernier le souleva pour l'asseoir à l'autre bout du canapé. La sorcière fit une moue boudeuse, mais se ravisa de dire quoi que ce soit, c'était agréable de sa faire porter, elle avait l'impression d'une aussi légère qu'un plume ( bien qu'en vérité, elle soit très légère, les filles même si elles sont maigres, se trouvent lourdes, en bonne fille qui se respecte, mirià se trouvait lourde. ).

    Il posa finalement sa tête sur les jambes de la sorcière. Monsieur prenait des airs. Elle esquissa la moue boudeuse qu'elle avait l'habitude de lui montrer, sa tête de cochon comme il le disait si bien. D'avance, elle avait pu prédire sa réplique, fais pas ta tête de cochon ma belle. C'était du déjà entendu. Elle croisa les bras et continua sa moue boudeuse, jusqu'à ce qu'une idée pas forcément très lumineuse lui traversa l'esprit. Elle laissa alors ses mains se balader sur le tête du sorcier. Elle commença à masser son cuir chevelu, rien de mieux qu'un massage crânien n'est ce pas, en prenant soin de ne pas trop ébouriffer ses cheveux. Il lui donna l'impression d'apprécier, et puis, il n'avait pas d'autre choix, tout à l'heure il avait bien eut l'air d'apprécier le massage de la sorcière, ce massage crânien, n'était que la suite logique, après le dos, la nuque, la tête. - tu apprécie aaron chéri ? demanda t elle d'un ton enjoué, à la mirià comme on dit, à mi chemin entre le sérieux et le ton humouristique. Elle ne luissa laissa pas le temps de répondre. Elle lui laissa apprécier le massage quelques seconde, et lui ébouriffa soudainement les cheveux, puis aussi vite, elle le poussa du canapé, du moins, elle essaya, un tel poids sur ses jambes. Elle se ravisa et entrepris plutôt de lui faire des chatouille, peut être qu'elle craignait cela, mais Aaron n'était pas en reste. Elle le laissa se tordre, une fois gesticulant, il se releva presque, laissant un peu de mouvement à la sorcière qui pu pousser sa tête de ses jambes, se libérant ainsi. Elle le poussa presque par terre, presque parce que sa force de mouche ne suffisait pas, évidement. Il s'accrocha tant bien que mal au canapé, et s'efforça sans doute de na pas tomber, bien que cela ne du pas lui demander beaucoup d'effort. Elle le chatouilla encore, tant que sa garde n'était pas levé, toutees les opportunité offensive sont bonne à prendre ! Trêve de plaisanterie, elle se leva, la fuite est la meilleure défense n'est ce pas ? Fuite ? Oui, il allait se venger, c'était assez évident. Une gryffondor qui fuit, nous avons vu de tout... mais là. Elle se leva, assez vite, mais sans doute pas assez.

    Chercher la merde ? C'était la spécialité de la sorcière. Toujours fourrée dans les pire conneries, elle semblait attirer les ennuis comme un aimant attire les métaux. Elle les cherchait aussi souvent, comme dans le cas présent, oui, elle les cherchait. Ne dit on pas que qui aime bien châtie bien ? Elle aimait bien Aaron, n'est ce pas son ami après tout ? S'il l'on ne peut plus chahuter comme des enfants alors rien ne va plus. Mais chahutaient ils encore comme deux enfants innocents ? Parfois les jeu dérivé de ceux des enfants prennent d'étranges tournures. Le plus innocent des jeux d'enfant peut devenir dangereux entre deux adolescents. Mais les soucis éthique, à cet âge là on s'en fou, la seule chose qui compte, c'est toujours plus loin, toujours plus rock'n'roll.
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MessageSujet: Re: Good night & Good luck | Miria   Good night & Good luck | Miria EmptyVen 4 Sep - 20:27

    Je n’allais pas mentir. J’étais parfaitement à l’aise Allongé de tout son long sur le canapé et ma tête reposant sur les cuisses de Miria. La position était confortable. Peut être réussirais je enfin à partir dans els bars de Morphée ? Je n’y croyais pas trop. Mais comme on dit, l’espoir fait vivre. Je savais très bien que Miria devait bouder. Les bras certainement croisaient sur sa poitrine et une moue craquant affichait sur le visage. Une véritable gamine lorsqu’elle s’y mettait. C’est ce qui faisait son charme. Avec un sourie je fermais els yeux près à savourer un repos bien mérité. Qui ne vient pas ….et qui vient encore moins par la suite bien que je n’en étais pas encore au courant.



    Une main vint s’abattre dans mes cheveux en bataille. En temps normal, j’optais déjà pour le coiffé négligé sexy. Là, il devait être plus en pétard que jamais. Les doigts de ma camarade massèrent doucement mon cuir chevelu. Hummm … je m’en délectais. C’était encore plus agréable que le massage du dos. Non décidemment, c’était même carrément mieux. Je me surprit à dodeliner de la tête en signe de contentement. Aux anges, j’étais aux anges. Sans rien demander, j’avais eu le droit à un nouveau massage. J’en étais bien plus qu’heureux. C’était sensationnel. Je me sentais comme bercé. C’était très reposant et fortement détendant. Mon esprit se vidait progressivement jusqu’à être complètement brumeux. Je me sentais m’assoupir. J’y étais … j’étais tout proche, déjà dans la somnolence. J’allais enfin réussir à m’endormir et ainsi effacer les dernières traces de fatigue de ma précédente nuit de pleine lune.
    Tu apprécies Aaron chéri ? me dit elle, je l’entendis à peine. Je m’éclipsais déjà dans le monde u rêve. Un sourire fleurit sur mes lèvres. Ma respiration s’apaisait. Dieu n’était pas de mon côté …



    Les doigts de Miria quittèrent ma tête et chatouillèrent mes côtes. J’étais très chatouilleux de nature. Un point commun que j’avais avec ma jolie amie. J’essayais de retenir un rire. Mes mains tentèrent de chasser les intruses sans succès. Je commençais déjà à me tortiller. Un rire m’échappa alors. J’étais de nouveau parfaitement réveillé. Je tentais de me relever pour échapper à ma traîtresse de meilleure amie. Je me sentis violemment projeter en avant. C’était une grave erreur ! Miria essayait de m’éjecter de MON canapé. Je ne dus mon salut qu’à mes réflexes. Miria avait peu de force par rapport à moi mais elle avait utilisé l’effet de surprise. Elle m’avait eut par derrière. Typiquement Mirianien comme tactique. Contre le lycanthrope que je suis, je le conçois parfaitement. Face à moi et sans surprise, elle n’aurait pas réussi à me faire bouger d’un millimètre.



    Ma main s‘accrocha fermement au haut du canapé. Miria revint à la charge avec des chatouilles. Je décidais de contracter mes muscles, faisant ressortir ainsi de manière impressionnante mes abdos déjà bien voyant. Mais chose non négligeable je sentais moins ses chatouilles. Elle continua de me pousser. Elle alternais entre els deux tactiques. Je subissais ses assauts, amusé.
    Non mais tu as pas un peu finit ? rouspétais je pour al forme. Bon c’est vrai, elle appuyait pile là ou j’avais mal. C’était pas forcément très agréable. Elle voulait certainement me démonter le dos. Une tactique pour me faire des massages à outrance ? Faudrait que je lui pose la question. Toutes les filles sont folles de mon corps, la preuve même Miria en redemande ! Je me giflais mentalement pour avoir de telles idées bien que ces dernières m’amusaient grandement.



    Elle fuit. Elle ne pourrait de toute façon pas m’échapper. En plus, elle m’avait à moitié déshabillé. Je pris le temps de remettre correctement mon boxer avant de me lever. Il était déjà assez moulant comme ça. Je la fixais en essayant de paraître méchant. J’avais en général pas trop de mal pour ça. Un sourire carnassier naquit sur mes lèvres. Une lueur sauvage traversa mon regard. Je me connaissais. Elle se mit à courir et moi derrière elle. Elle passa derrière le canapé et sans lui laisser le temps de comprendre je le sautais souplement. Je l’attrapais sans cérémonie. Un de mes bars la maintenant contre moi alors que ma main libre lui ébouriffait généreusement les cheveux.
    Qu’est que tu essayais de faire ? lui demandais-je dans un rire féroce.



    Miria continuait à se débattre, je n’avais même pas besoin de forcer pour la maintenir. En essayant de m’échapper, elle me poussa. Je trébuchais alors entraînant Miria dans ma chute. Je me retrouvais sur le dos, surpris avec une Miria allongée de tout son long sur moi. Nos regards se croisèrent. Aucun de nous ne c’étaient attendu à cette chute. Je remarquais alors que ma main se trouver sur ses fesses. Loin de m’en formalisait je la laissais là.




      - Je savais bien que tu étais folle de moi !




    Ma présomption n’était plus à refaire. Je le savais. J’adorais taquiner Miria. Je me relevais légèrement sur un coude. Ma main était toujours sur ses fesses, l’empêchant ainsi de s’enfuir. Nos visages étaient proches, cela ne m’inquiéta pas.
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MessageSujet: Re: Good night & Good luck | Miria   Good night & Good luck | Miria EmptyVen 4 Sep - 21:54

    Parce que Mirià était doué pour chercher la merde. Le talent, le talent. Elle avait ce fameux don, celui d'avoir à la fois un air si chétif et innocent, et celui d'être si agaçante. Elle avait du talent, oui, du talent. Reine du cherchage de merde. Elle aimait embêter ses amis, c'était tellement marrant. Oui, elle passait du bon temps lorsqu'elle emmerdait son petit monde. Un peu de bonne humeur n'a jamais tué personne. Néanmoins, elle n'embêtait pas ses amis si ces derniers ne le voulaient pas, non, il y avait des signes qui montraient qu'ils étaient d'humeur taquine. A présent, Aaron avait été d'humeur taquine, sinon, il aurait eut cet air bougon qui aurait découragé Mirià, ou presque. Si le sorcier avait été de mauvaise humeur, il aurait pousser un grognement du genre bestiale, sans doute dû à sa condition de loup, mais là, il semblait de bonne humeur. Sa plainte n'était là que pour la forme, évidement, évidement, s'il avait été réellement ennuyé les choses se seraient passé autrement. Elle ne répondit pas à sa plainte, trop occupé à assurer ses arrières, et surtout à continuer son offensive. La meilleure défense, c'est l'attaque, enfin, surtout lorsque que vous bénéficier de l'effet de surprise et parfois d'une supériorité physique, mais Mirià ne bénéficiait que de l'effet de surprise ( et ce pour quelque seconde à tout casser. ).

    Il y a un temps pour tout, celui qui vient est pour la fuite. Elle tenait de fuir, toute vêtue de Aaron. Ah ah ! Elle l'avait déshabillé, enfin, quelque chose comme ça, et le pire, c'est qu'il l'avait fait tout seul. Il lui restait néanmoins un boxer, quand même. Elle se carapata en vitesse, oui, mais de toute manière, il ne fallait pas qu'elle se fasse d'illusion elle ne pourrait pas s'échapper, non, elle ne pouvait pas. Elle était petite et agile, mais il était grand et agile, ça va tout de suite mieux pour poursuivre comme ça. La sorcière passait derrière le canapé à toute vitesse, son but prendre à revers l'ennemi, elle avait vu ça dans un film moldu. AH, Mirià et les films moldus une grande histoire d'amour. Manque de chance pour la sorcière, Aaron l'attrapa au passage, un des bras du sorcier la maintenait contre elle, tandis que l'autre lui ébouriffait les cheveux. La sorcière riait, oui, mais de façon plutôt silencieuse, histoire de ne pas réveillé tout le monde. Elle détestait qu'on lui ébouriffe les cheveux, elle avait horreur, horreur, horreur de ça ! Il lui demanda ce qu'elle essayait de faire, elle ne répondit rien de verbale, et se contenta de lui tirer la langue avec son air enfantin !

    Prise, mais pas question de le rester, non, non, non. La sorcière commença à se débattre, essayer de la tenir immobile relevait surement de l'impossible, même en cours, elle bougeait tout de temps, soit ses jambes, soit se balançant sur sa chaise. Prisonnière ? Jamais ! La sorcière se libéra alors de son étreinte, et le poussa au passage. Manque de chance, il trébucha, l'entrainant ainsi dans sa chute. Il tomba sur le dos, la sorcière lui tomba dessus. Elle était allongée sur lui et surprise de cette chute. Ça, elle ne l'avait pas prévu, non, elle aurait du être assez rapide, mais non. Une autre chose la surpris, la main d'Aaron sur ses fesses. Tout ami normalement constitué l'aurait enlevé au moment où il s'en serait rendu compte. Mais Mirià savait déjà une chose, Aaron n'était pas normalement constitué, enfin, elle croyait. Elle fit une moue boudeuse et tira la langue à sa remarque, où allait il chercher des idées pareilles ? Elle rétorqua avec une fausse froideur : - je ne suis pas folle de toi, cesse de croire que les filles du monde entier sont à tes pieds ! Elle ne put rester sérieuse plus longtemps et étouffa un rire.

    Elle cessa de rire, ses bras la tenait au dessus du sorcier. Un peu éloigné, mais tout de même asses proche. Lorsque le sorcier se releva sur un de ses coudes, elle continuait de le regarder de ses yeux azure. On lui avait dit que ces yeux étaient beau plus d'une fois, elle détestait que l'on lui rappel, avoir les mêmes yeux que sa mère n'était pas une fierté pour elle, ça non. Les visages des deux amis sorciers étaient plus proche qu'auparavant. La sorcière se figeait, elle n'avait jamais « vu Aaron d'aussi près ». Il n'avait pas l'air dérangé, ni même inquiète de quoi que ce soit. La sorcière avait cru qu'il retirerait sa main, afin qu'elle puisse s'échapper, et se relever, se relever pour lui permettre de se relever, mais rien, sa main ne bougeait pas. Habituellement, lorsqu'on lui « mettait la main aux fesses », la sorcière avec son agilité dégottait une bonne vielle droite, ou un coup de pied vous-savez-là-ou-ça-fait-mal. Mais elle ne bougea même pas, non, elle ne bougeait pas, il ne bougeait pas sa main. Quiconque serait entré à ce moment là dans la salle commune aurait été.. choqué ? Surpris ? Étonné ? De voir les deux amis dans une tel position non ? Elle allait répliquer quelque chose, mais elle se ravisa. - Aaron, commença t elle. Devait elle lui demander de retiré sa main, étrangement, cela ne la dérangeait d'aucune manière, non, d'aucun manière; Elle trouvait une chose vraiment très étrange, cela aurait dû la déranger, ça aurait dû le déranger, lui aussi il aurait dû être déranger de poser sa mains sur cette partie du corps de son amie, mais rien. La sorcière se tint alors sur une seule de ses mains, remettant en place une de ses mèches qui lui tombait sur les yeux. Elle s'appuyait sur un seul de ses bras se tenant à courte distance du visage d'Aaron, elle faillit être déséquilibrée, et en rétablissant son deuxième point d'appui en reposant sa main sur le sol, elle se rapprocha encore plus du sorcier. Encore plus proche, nez contre nez. Leur lèvres étaient proche, la sorcière bougea légérement la tête pour poser un baiser sur la joue du sorcier. Ils étaient amis non, un baiser sur un joue, et un mainsur les fesse, ce n'est rien non ?



    ps : c'était absolument nul T.T
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Aaron S. Zimmer

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MessageSujet: Re: Good night & Good luck | Miria   Good night & Good luck | Miria EmptySam 5 Sep - 20:03

    L’instant de surprise fut bien vite passé. Ou du moins j’essayais de m’en convaincre. Voir Miria d’aussi prêt était une chose un peu bizarre. Nous avions toujours été très proche. Mais plus dans le sens sentiments amicales et personnalités. Mais jamais de manière aussi physique. Oui bien sur , j’avais déjà pris Miria dans mes bras. Une fois, elle avait même dormi dans mon lit. Et une autre fois encore entre Jack et moi. D’ailleurs Jack était tombé du lit. Miria elle m’avait envoyé un coup de pied dans le tibia. J’ai juré que c’était la dernière fois que je dormais avec elle. Figurez vous que ça fait pas du bien.




    Mais là c’était bien différent, en plus de l’attouchement physique. Je n’avais qu’à relever la tête de quelques centimètres pour l’embrasser. M’emparer de ses lèvres. L’emmener dans une baiser fiévreux comme elle n’en avait jamais reçu de sa vie. Je ne mettais plus en doutes mes compétences. Autant physique qu’intellectuelles cela va de soit. Mais je ne comblais pas la distance. Je n’avais pas envie de l’embrasser. Elle était peut être attirante, je ne le voulais pas. Elle était bien trop pénible. De plus, je n’étais pas un homme stable. J’étais volage. Chacun son caractère. Miria n’était pas en reste. Je remportais de loin tous les records par contre. Je gagnais facilement Jack et Eliot. Je n’étais pas troublé. Mais par contre, j’avais trouvé une nouvelle manière de l’embêter. Ca me plaisait. Peut être essayais je juste de me convaincre. Allez savoir. J’étais une personne compliquée de nature.




    - je ne suis pas folle de toi, cesse de croire que les filles du monde entier sont à tes pieds ! me dit elle mi sérieuse mi excédée. Un sourire m’échappa. Je me retenais de rire. Ce ne fut pas son cas. Je me permis donc de la suivre. Sa phrase était absurde. Toutes les filles étaient à mes pieds. J’étais la coqueluche de Poudlard. Les plus grandes essayaient toutes de m’avoir. Et les plus petites me voyaient déjà comme leur fantasme masculin. J’étais persuadée que certaines penser que j’étais un prince charmant. La réalité c’est que je ne sortais absolument pas d’un conte. Où alors, j’étais le méchant et pas le gentil. J’étais le loup qui mange la grand-mère du petit chaperon rouge. Mère-grand si mes souvenirs étaient exacts.- Mais toutes les filles sont à mes pieds dis je suffisant. Je savais qu’elle avait horreur lorsque je me mettais à me vanter. Elle roulera bientôt des yeux. Peut être aurais je même le droit à une calque derrière la tête comme dans NCIS. Une série que j’avais visionné avec Miria cet été. J’adorais Dinozzo. Normal on était pareils. N’empêche j’aimerais travailler dans ce genre d’agence. De toute façon, on finissait toujours par rire de ma suffisance volontaire. Une sorte de jeu. Bien que ce n’était ni totalement faux ni totalement vrai. Il suffisait de trouver le juste milieu.



    Je plongeais mon regard dans le sien. Elle me détaillait. C’était comme si elle ne m’avait jamais vu avant. Que l’on venait de se rencontrer. Qu’elle percevait une autre de mes innombrables facettes et facéties. J’haussais un sourcil. Je déglutis lorsque nos visages se rapprochèrent. Je n’avais pas peur mais je me demandais ce qui allait se passer. Ma main resta au même endroit. Je me surpris à fixer ses lèvres. Je n’avais pourtant pas envie de l’embrasser. Je ne ressentais rien pour elle. Bien qu’un contact physique n’engageait aucuns sentiments. Miria était Miria. C’était mon amie et c’est tout. Je ne prendrais jamais le risque de la perdre pour une stupide envie hormonale. Pourtant c’était bien elle qui se rapprochait maintenue par un seul de ses bras.




    - Aaron, prononça elle. Je ne bougeais pas, je ne répondis pas non plus. Elle avait murmuré mon prénom. Je n’étais pas vraiment sur de ce qu’elle voulait exactement. Je n’étais pas su de ce que je voulais. Mon corps commençait à réagir à sa promiscuité. Je savais le contrôler. Mais elle portait quand même mes habits. Et moi, je possédais seulement un simple boxer. Cela n’en était pas gênant pour autant. C’était juste peu réaliste. Nos nez se touchaient maintenant. Un seul centimètre entre nos lèvres. Elle s’humidifia les lèvres. Elle ne devait même pas s’en rendre compte. Pourtant c’était comme une invitation explicite. J’hésitais. Finalement, elle déposa ses lèvres sur ma joue. Tu sais que j’ai vraiment cru qu’on allait s’embrasser là, j’ai rien contre toi mais je crois que ça aurait été extrêmement bizarre ! délarai je avec une voix quelque peu incertaine. Je n’étais vraiment pas très sure de ce qu’il s’était passé pour le coup. Simple réaction ? Ou assortissement complexes de coïncidences ? Un problème qui méritai d’être résolu dans le calme.



    Je me relevais forçant Miria à faire de même. Ma main quitta ses fesses pour aller dans son dos. Avais je engendré ceci ? Une moue de réflexion m’échappa. C’était peut être pas le moment d’essayer de faire Sherlock. Je m’étirais faisant craquer mon dos.
    -Avant j’avais mal au dos maintenant j’ai mal au dos et au coccyx soupirais je faussement irrité. Un sourire me trahit néanmoins.
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Daphné P. Hayes
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MessageSujet: Re: Good night & Good luck | Miria   Good night & Good luck | Miria EmptySam 5 Sep - 22:43

    Je m'aventure à la première personne, histoire de voir (a)

    J'ai bien cru qu'on allait s'embrasser. Cette perspective aurait été absolument... politiquement incorrecte, amicalement incorrecte. Je n'aurais jamais pu supporter de l'embrasser. J'étais persuader qu'embrasser Aaron c'était comme si j'essayais de partager un baiser avec Micah, mon triplé. Cette perspective était tout simplement impensable. Impensable. Lorsque nous sommes amis depuis d'aussi longues années, je compare plus notre relation à celle d'une famille. Bien qu'en réalité, je sois sans l'ombre d'un doute plus proche de mes meilleurs amis que de mon propre triplé, qui contrairement à toute attente n'était pas la troisième partie de moi même. Lollà était la seule personne qui parvenait à me compléter, elle était l'eau qui apaisait les flammes. J'étais complémentaire de ma jumelle, parfois Micah était invisible, pourtant il aurait dû être notre tier, mais rien, je n'étais pas vraiment lié à mon frère, vu que lui, était lié à notre mère. Aaron eut la même réflexion que moi, lui aussi avait eut cette étrange impression, lui aussi aurait trouvé cela extrêmement bizarre. Je trouvais que ce n'était pas réellement bizarre, mais surtout contraire à toutes les règles établies en amitié, une amitié fille garçon doit être qu'une amitié garçon garçon, la différence ne doit pas causer des problèmes du genre d'un baiser, et de parfois plus. Préserver l'amitié est un combat de tout les jours. - J'y ai cru aussi, ça aurait été plus que bizarre ! Dis je en riant.

    Il se releva, enlevant sa main de mon arrière train ( de mes fesses si vous préférez. ), étrangement, j'étais partagée entre une sorte de soulagement, et un autre sentiment que je ne parvenais pas à identifier, ou peut être que je refusais d'identifier. Je préférais me taire sur le sujet, oui. Dès que je fut sur mes propre jambe, je fit un pas en arrière, sans savoir vraiment pourquoi, comme une sécurité. Je le regardais souriant, comme bien souvent. J'étais la reine du sourire, il est parfois dur de savoir si je souriais sincérité, ou bien si le sourire n'était qu'une simple façade, cachant un profond désarroi. Je n'étais pas une déprimé de la vie, je n'étais pas forcément une fille populaire, je faisais bien piètre allure aux côtés d'Aaron et Jack niveau de la popularité, mais c'était ainsi, on ne peut tous avoir la gloire et le pouvoir. Je replaçais derrière mes oreille un tripotée de mèche rebelles. Décidément en ce moment mes cheveux se la jouaient tellement rebels que je peinais à en venir à bout. Je constata que je portais toujours sur moi les vêtements de mon ami, cette variable m'étais complètement sortie de la tête. Le voir de la sorte était bizarre. Je constatais quand même que j'étais la seule fille d'un groupe constitué de garçon au charmes physiques très développé. Parfois, je comprenais la haine de certaines filles à mon égard, oui, je n'ai jamais été la plus populaire, et j'en ai rien à faire. Fuck you, comme je le dit.

    - le coccyx, cette fois niveau massage tu te démerde, dis-je alors, ou plutôt rétorquais-je presque avec humour. Je ne lui masserais jamais cette partie du corps, bien que je doute qu'un massage spécifique existe d'ailleurs. Je tentais brièvement d'imaginer ce type de massages, sans succès. Mes yeux regardaient presque dans le vide. Je semblais regarder dans la direction d'Aaron, mais j'étais ailleurs, pensant à tout autre chose, à la façon d'effectuer ce message, mon esprit s'égarait un peu, réfléchissant à ce qu'il s'était passé et à ce qui aurait pu se passer. Je revint à moi avant que mon ami ai pu faire une remarque sarcastique à mon sujet, sur mes absences. Je garderais mes réflexions pour plus tard, chamboulée et tout de même intrigué. Reprends toi Mirià pensais je presque à haute voix. Il avait ce sourire que je connaissais bien, sans toute fois comprendre ce qu'il avait à dire derrière cette phrase, je comprendrais, peut être, plus tard.

    Je retirais alors les vêtements de mon ami. Sans vraiment savoir pourquoi, le voir dévêtu ainsi, me... dérangeais ? Oui, je crois que le mot est le bon, sans trop savoir pourquoi, mais c'était la vérité, j'étais gêné, sans comprendre le pourquoi du comment. Je retira ses chaussettes m'appuyant d'une main sur le bord du canapé, manquant de tomber deux fois. Je les lui balançant dessus en riant. Je retira son short, hop, une jambe, puis l'autre, m'efforçant de tirer au maximum vers le bas ma chemise de nuit, m'efforçant de ne pas dévoilé mes sous vêtements, j'étais du genre à ne pas les montrer par tout, pas comme les filles moldus qui les font dépasser de leur jeans, si vous voyez ce que je veux dire. Je le lui jeta dessus, et lui adressant un sourire. Puis, je retira son t-shirt ( bien trop grand ), je le lui tendis, sans toutefois le lui jeter, c'était ma minutes de gentillesse, ce soir là, du moins. Je remonta légèrement mes chaussette sur mes chevilles, histoires qu'elles servent à quelque chose. Je regardais aaron, en souriant et lui lança : - aller rhabille toi le chippendle ! Je ris alors, doucement pour ne pas réveillé le dortoir. Nous étions encore proche, mais assez éloigné, en revanche, il ne portait que son boxer et ses vêtements par terre. La scène vue de l'extérieur avait de quoi faire rire, ou de quoi alimenter de nombreux ragots. Personnellement, j'étais une adepte de ragots, c'était quelque chose qui me plaisait. Ce n'était pas le fait de médire, mais le fait de chercher à savoir la vérité, les gossips comme disent nous amis américain sont une chose que tout le monde aime savoir. Fort heureusement, tous les gryffondors étaient endormis, et aucuns n'avaient assisté à cela, enfin, j'espérais. Une autre chose me traversa l'esprit, je lui avait rendu ses vêtements, oui, mais j'avais froid, je tentais de ne pas me trahir, essayant de retenir mes sursauts, et priant pour que je n'ai pas la chaire de poule.
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MessageSujet: Re: Good night & Good luck | Miria   Good night & Good luck | Miria EmptyDim 6 Sep - 12:22

    Elle aussi avait trouvé ça bizarre. Non, aurait trouvé ça bizarre. Bien, normalement ça n’aurait même pas du nous déranger. Puisqu’on savait que ça nous faisait rien. Je me demandais furtivement ce que cette scène cachait. Et ce qu’elle allait engendré par la suite. Je me posais simplement trop de questions. J’avais juste failli rouler une pelle à ma meilleure amie. Pas de quoi en faire un drame. Deux amis qui se donnent un peu de tendresse. Mais il était là le problème. Je le avais parfaitement. Nous étions deux amis. On est pas censé faire ce genre de chose avec un de nos amis. Non mais c’est vrai ! Je ne me mettrais jamais à embrasser Jack. Sauf en cas de pari. Pourtant j’en étais presque comme frustré. Je repensais machinalement dans ma tête à ma dernière aventure. Elle datait d’un peu plus d’un mois. Un mois de célibat. Je n’aimais pas les coups d’un soir. Les filles étaient trop sensibles pour ce genre de choses. Et puis, c’était très animal. J’étais déjà assez animal comme ça. Après, cela dépendait des demoiselles. Certaines ne recherchaient que ça. Mais je préférais quand même sortir avec elle, pour peu de temps. Elles le savaient toutes, pas de surprise à avoir. Je mis ça sur le compte des hormones. Un petit mois d’abstinence. Je ne pouvais peut être pas le supporter. Néanmoins, ce n’était pas une raison pour sauter sur Miria. Il faudrait peut être que j’en parle à Jack. Quoique réflexion faite, je n’avais pas envie de me retrouver étrangler. Et il valait mieux pas pour ma peau que ça arrive aux oreilles de Elliot. Il était gentil le petit mais il mordait. Tout ça au sens second du terme bien sur. J’étais le seul à pouvoir réellement mordre.




    - le coccyx, cette fois niveau massage tu te démerde ! grogna elle avec un pointe d’humour. J’esquissais un sourire en coin. Je secouais la tête presque avec fatalité. Et moi qui comptait sur toi lui répondis je comme blessé. Je baissais la tête et fis semblant d’essuyer une larme avec mon doigt. Il en fallait bien plus pour me blesser. Mais pour faire l’andouille c’était suffisant. La situation manquait de légèreté. Il fallait effacer rapidement le gène occasionné. - Bah pas grave, y’en a pleins qui se proposeront finis je par dire après réflexion. J’avais évidemment plusieurs noms en têtes. Des exs qui voulaient reprendre. Des nouvelles conquêtes. Un sourire illumina mon visage. Il y avait toujours la merveilleuse Apolline. Une française rencontrée l’été dernier. Une véritable bombe. J’avais pas mal flirté avec elle. C’était un grand jeu entre nous. Mi connard, mi protecteur. J’avais adoré. On n’était pas allé plus loin. Elle était partie avant. Mais j’avais gardé contact avec elle. Je savais qu’elle devait venir à Londres pour les prochaines vacances. C’est sur que d’ici là, j’aurais plus rien au coccyx mais j’adorais la simulation. Une demoiselle dont j’avais bien tu l’identité. C’était tout à fait le genre de fille qui plaisait à Jack. Cette fois ci je ne l’aurais pas laissé faire.




    Je sortis de mes réflexions et des charmes à la française lorsque je reçut une chaussette sur le visage. Ma chaussette après une rapide identification. Une deuxième que j’attrapais au vol. J’avais eu juste à étendre le bras pour l’attraper. Ce n’était pas bien dur. Mon short atterrit à mes pieds. Je relevais alors le regard vers la main qui tenait mon tee shirt. J’haussais un sourcil. Etait elle gênée de me voir à moitié nu ? Elle m’avait déjà vu de nombreuses fois en maillot. Il n’y avait pas de grandes différences.
    - aller rhabille toi le chippendle ! dit elle en riant. Un sourire fleurit sur mon visage. Sourire qui s’agrandit lorsque je remarquais qu’elle tremblait. Cette fille était incorrigible. Je repoussais mon tee shirt de la main. Voyant son incompréhension je le prenais en main. Je ne l’enfilais pas, mais le lui enfilais. Je me baissais pour attraper mon short que je lui remis avec un sourire goguenard. Quand à mes chaussettes je les lui jetais au visage. – Fais pas la mijaurée Miria répliquais je avec malice.



    Je me laissais tomber sur le canapé derrière moi. Une de mes mains passa dans me cheveux. Je n’avais pas froid. Il valait mieux qu’elle les porte donc. Héritage de mon côté sauvage0. Je résistais beaucoup plus au froid. Et ce sans fourrure. La vie est magique.
    Qu’est qui se passe avec Elliotdemandais je avec curiosité. Je ne savais même pas pourquoi cette question. Elle était sortie toute seule. J’étais mu d’une envie irrésistible de savoir. Etais ce malsain ? Je ne savais pas moi-même. Je souris néanmoins de mon audace du moment. Je n’avais pas vraiment l’habitude de m’occuper des histoires de cœur des autres. Les miennes me prenant déjà assez de temps. Peut être était ce le fait que cela concernait deux de mes proches amis ?
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Daphné P. Hayes
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MessageSujet: Re: Good night & Good luck | Miria   Good night & Good luck | Miria EmptyDim 6 Sep - 14:17

    Faire sa mijaurée ? Elle. Vaste plaisanterie. Elle faire sa mijaurée, c'était comme demander au père noël moldu d'être comme le père fouettard, c'était impossible. Mirià n'avait jamais été prude, et ce n'était pas maintenant que cela allait commencer. Bon okay, peut être qu'avant ses quinze ans, elle était d'avantage prude. Oui, elle avait eut sa période prude, comme elle avait eut sa période fleure bleu, amoureuse, douce et complètement abrutie par ce qu'on appelle l'amour. Cette période était derrière elle, enfin, elle était déterminé à la déclaré derrière elle, elle était déterminé à laisser cette Mirià là, la naïve derrière elle. Elle voulais cessé d'être naïve, être naïve c'était une chose qu'elle ne supportait, de nature gryffonne, elle détestait que l'on se joue d'elle, et qu'on joue avec ses sentiments. L'amour rend aveugle, et naïf. Lorsque l'on se fait largué, ou tromper, ça vous rend la vue & vous apprend à ne plus croire en personne, croyez moi. Il lui jeta sa paire de chaussettes au visage, elle s'empressa de la attraper au vol et de les lui relancer. À la phrase de son ami, elle rétorqua alors : - Moi ma mijorée, tu me connais bien mal Aaron ! Elle lui tira la langue, et lui donna une tape dans l'épaule. Dans Ncis, une série moldue dont Mirià raffolait, ils se donnaient des tapes derrière la tête, mais Mirià elle étai spécialiste des tapes dans l'épaule ( de façon plus ou moins forte selon le moment et la connerie faite ou dite par son interlocuteur qui était généralement un de ses trois amis. )

    Au fur et à mesure qu'elle lui avait rendu ses vêtements, ce dernier les lui avait « renfilé ». Cette attitude exaspérait un peu la sorcière, elle n'avait absolument plus froid, du moins c'était ce qu'elle voulait croire. D'après les moldus, la pensée positive était quelque chose qui fonctionnait. La sorcière le laissa s'installer sur le canapé, et ne le suivit pas tout de suite, elle se contenta de retirer de nouveau ses vêtements, c'était ceux de Aaron, pas les siens, et puis après réflexion, il ne faisait pas si froid que cela dans la salle commune, non ? Elle les posa sur le rebord du canapé. Pas en chiffon, le gros défaut de la sorcière était celui d'être à tendance maniaque ( enfin pas tout le temps, sa chambre était dans un bordel sans nom, mais parfois, dans un éclair de lucidité, elle devenait maniaque ). Après avoir retiré les vêtements du sorcier, elle tira ses chaussettes vers le haut, et passa de l'autre côté du canapé, elle s'assit alors à l'autre bout du canapé, laissant la place à Aaron de s'affaler comme un pacha, comme il avait l'habitude de faire. Elle s'affalait parfois comme un pacha, mais généralement lorsque personne n'était dans la salle commune, parfois lorsqu'elle se retrouvait seule durant ses longues insomnies.

    Il y eut un bref silence, surtout lorsqu'il lui demanda ce qu'il se passait avec Elliot. La sorcière roula des yeux et s'installa plus profondément, et plus confortablement le canapé, une main sur le rebord, qu'elle fixait machinalement, comme pour réfléchir à ce qu'elle allait dire. Mais que pouvait elle répondre ? Si seulement elle même savait ce qu'il se passait avec son ami Elliot, si elle savait, ça serait sûrement une grande avancée. Elle se mordit la lèvre ce qui était chez elle un synonyme de grande réflexion, et laissa alors échapper un simple : - je ne sais pas, du tout. Elliot et elle étaient amis, et c'était la seule chose qui comptait, il était son ami, et rien d'autre. Elle découvrait avec stupéfaction qu'avoir des amis garçons lorsque l'on est jeune est une chose facile, les enfants font parfois peut de distinction entre le filles et les garçons. Mais devenu adolescente, ce genre d'amitié prend des tournures que parfois ont préférerai ne pas affronter. - je ne sais pas, répéta t elle alors, fixant la cheminé devant elle, nous sommes amis, voilà tout, c'est juste... ça, non ? L'interrogation était pour elle même, oui, Elliot était son ami, au même titre que Jack et Aaron, bien qu'elle ne le connaisse que depuis sa première années. Était ce ça la différence ? Elle posa alors sont regard sur Aaron, elle était un peu gênée, et déstabilisée par ce genre de question de sa part, sa vie sentiment ( oh mon dieu, elle venait de parler de vie sentimentale au sujet d'Elliot ) n'était pas le sujet dont Aaron parlait, il était bien trop occupé avec la sienne. Elle continua alors : - ma vie... bref, ça ne t'intéresse pas. Conclut elle finalement. Elle sourit à Aaron, et rajoyta ensuite : - je crois que je vais aller me coucher. Mirià, ou l'art de fuir les discussions.
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Good night & Good luck | Miria Vide
MessageSujet: Re: Good night & Good luck | Miria   Good night & Good luck | Miria EmptyMar 8 Sep - 19:35

    Je regardais du coin de l’œil l’expression limite horrifiée de Miria. Je cachais du mieux que je pus un sourire moqueur dans un bâillement sonore. Je n’avais jamais été très discret. A 18 piges, difficile de commencer à l’être. Je faisais déjà presque office de papi. Hé oui ! Rigolez rigolez, mais las années passent vite….bien trop au final. Néanmoins, c’est bien certaine personne ne changeait pas. Des personnes comme Miria. Je la connaissais bien aussi. J’étais souvent capable de prévoir ses réactions0. Elle continuait quand même à m’étonner. De temps en temps, pas tout le temps. Elle rattrapa mes chaussettes et me les relança. Je les rattrapais sans problèmes avec un mouvement fluide. Je les laissais tomber sur le canapé. J’étais bien décidé à els récupérer plus tard mais pas à les mettre. Je n’avais pas froid. Cela aurait été une chose stupide et inutile. Pourquoi s’en encombrer ? Le parquet du dortoir était glacé. Mais pas les tapis de la salle commune. - Moi ma mijaurée, tu me connais bien mal Aaron ! s’exclame elle. Je la sentais presque offusquée dans son propos. De quoi faire rire le grand moquer que je suis. J’explosais d’un rire joyeux lorsqu’elle me tira la langue. Miria avait une part de gaminerie très touchante. C’était un côté de sa personnalité que j’aimais beaucoup. Elle était légère. C’était plaisant et reposant. – Je te connais comme personne ma chère ! lui répondis je avec un rire dans la voix. Je savais que ce que j’affirmais était faux. Sa jumelle la connaissait bien mieux que moi. En même temps c’est sa jumelle. C’était juste mon côté pompeux qui reprenait du service. Il ne s’arrête jamais. Je le suis 24/24h. Il faut s’y faire. J’étouffais avec ma main un autre bâillement. J’allais les désigner d’intempestifs. Je laissais échapper un autre rire lorsqu’elle entreprit de me taper sur l’épaule. Elle n’avait aucune force pour ça. Surtout contre moi en fait. Mais c’était toujours très drôle de la regarder faire. Par moment, juste avant de vous frapper, elle s mordait la langue. Je ne savais pas qu’il fallait une extrêmement concentration. C’était comme dans NCIS. Notre série culte. On pouvait s’en faire une overdose, faire une cure et recommencez. De véritables drogués à la Gibbs attitude.




    Je regardais avec un petit soupir Miria enlevait mes vêtements. Elle avait n peu froid, je le savais0. Un plus je le sentais. L’humain lorsqu’il a froid, tremble. Le tremblement agite des hormones et des cellules. J’étais capable de le sentir. Je le savais. Peur être qu’elle l’ignorait. Je ne cherchais pas plus loin. Ce n’était pas le moment de l’abrutir avec un récit scientifique. Vraiment pas l’heure. Mes habits finirent sur le rebord du canapé. Ils n’iraient pas plus loin. A moins de les faire volontairement tomber au sol. Une autre fois, je prenais la moitié du canapé. J’étais grand et musclé. J’avais donc adopté la position pachydermique spécialement masculine. Je riais sous cape de la voir s’installer loin de moi. Avait elle peur de se retrouver dans mes bras ? Tout contre moi ? Faisais je finalement de l’effet à ma merveilleuse meilleure amie. Des idées saugrenues qui néanmoins me firent largement sourire.





    - je ne sais pas, du tout me confessa elle. Je n’allais pas savoir pour elle. C’est vrai d’habitude je demandais jamais ce genre de choses. Cette fois ci, les mots avaient franchis mes lèvres avant même que mon cerveau rentre en action. Attitude gryfondoresque. Celle d’agir avant de réfléchir. C’était sans gravité. Du moins pour moi. Miria semblait … tout à coup bien ailleurs. Peut être était elle surprise. Ce n’était pas dans mes habitudes. Puis au final, la réponse m’importait peu. Elle ne m’intéressait pas vraiment. Je me traitais mentalement d’idiot pour avoir poser cette question. Il fallait espérer que Miria ne se lance pas dans un récit endiable sur els qualités et performances de mon ami Elliot. Je n’étais pas sur d’arriver à les entendre. Elliot devait rester un ami. Je ne changeais pas de côté. Même si on devait parler d’ouverture d’horizons … Elle répéta qu’elle ne savait pas sous mon air amusé. C’était drôle de la voir retourner la question dans tous les sens. Pourtant c’était une interrogation facile. Suffisait d’analyser son cœur. Philosopher avec son âme. Elle conclut par le fait que sa vie ne l’intéressait pas. Ni faux ni vrai. Je m’intéressais à la vie de mes amis. Tout de même. Mais pas leurs vies sentimentales. Moise a part que cela devienne très grave. Je n’aimais pas faire le psy pour amoureux transis. Une véritable horreur. Cela m’était déjà arrivé notamment avec Jack. C’est bien parce que c’est mon meilleur ami et qu’il avait besoin de conseils. Je lui répondis par un haussement d’épaule désintéressée.




    - je crois que je vais aller me coucher. Termina elle. Je secouais la tête fataliste. Un sourire accrochait aux lèvres. Quelques èches virent cacher le pétillement moqueur de mes yeux. Etait elle aussi gênée ? Je voulais bien que cela ne soit pas dans mes habitudes mais quand même. Je n’étais pas une grosse brute, faite de glace. – Fais ma belle, fais ! Moi je crois que je vais rester pioncer ici ! Ils ronflent trop en haut ! Terminais je en me calant encore plus confortablement.
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Daphné P. Hayes
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Good night & Good luck | Miria Vide
MessageSujet: Re: Good night & Good luck | Miria   Good night & Good luck | Miria EmptyMer 9 Sep - 19:17

Elle étouffa un premier bâillement. La sorcière avait mine de rien les eux qui commençaient profondément à se clore sans même qu'elle leur en ait donné l'autorisation, les petits polissons. Elle était assise dans le canapé, puis se laissa retomber un instant au fond de ce dernier. Elle avait un coup de fatigue, oui, un gros coup de fatigue. Elle clos un instant ses yeux, elle les garda clos avant même d'entendre son ami lui dire qu'elle n'avait qu'à aller se coucher. Elle passa une main dans ses cheveux et se gratta un peu la tête, comme pour se dire « j'ai la force de monter là haut, ou je l'ai pas ? ». elle était en grand débat avec elle même, lorsqu'elle étouffa un second bâillement. Elle attendit un peu, et posa les pieds sur le sol, ou plutôt sur le tapis, qui était soit dit en passant bien plus chaud que le carrelage des dortoir, ou leur pseudo dalle en pierre. Elle s'étira brièvement de tout son long, joignant ses deux mains et dessus de sa tête. Elle se mis enfin debout sur ses deux pieds, et contourna le canapé.

Elle s'appuya un instant sur le bord du canapé, derrière aaron, toujours affalé comme un pacha sur son trône. La métaphore n'était pas de trop, il avait les filles à ses pieds ( et même dans gryffondor ), donc quelque part on pouvait comparé ce canapé à un trône. Elle s'abaissa momentanément vers lui, et l'entoura de ses bras, pour limite l'étouffer et lui coller un bisou amicale sur la joue, elle aurait bien voulu l'empêcher de respirer mais se retint, elle le lâcha vivement, et lui ébouriffa avec « tendresse », ou plutôt à la façon d'une « tigresse », ses cheveux. Elle dit alors : - Mon RON-RON ! Elle avait parfaitement conscience que ce surnom affreusement débile le gonflait, à sa place, Mirià n'aura pas du tout aimé, mais il allait la laisser partir se coucher en paix, car de cette manière, il reposait tranquille comme un pacha dans son trône. Elle s'empressa de lui mettre son t-shirt (qui était posé sur le bord ) sur la tête, lui cachant ainsi les yeux et murmura comme un maman: - bonne nuit mon petit !

La sorcière tourna alors les talons. Elle gravit, lentement, mais sûrement les marches conduisant au dortoir. Elle avait froid, mais ça, ce n'était pas grave. Guidée par le fait de savoir qu'une couette bien chaude l'attendait la réjouissait d'avantage. Elle arriva à la porte du dortoir et regarda encore une fois Aaron qui était en bas, dans son canapé, toujours affalé comme un pacha, elle aurait presque juré que cette fois, il était étalé de tout son long sur la canapé de rouge et or. Elle sourit, et poussa avec délicatesse la porte du dortoir, et entra sur la pointe des pieds, la porte faillit claquer mais la sorcière la rattrapa de justesse. Elle marcha sur quelque chose et s'exclama – AIE !, une des filles se dressa dans le lit, et se recoucha tout de suite. Mirià ne compris pas et s'empressa d'atteindre son lit douillet. Elle retira ses chaussettes une à une et s'empressa de se glisser sous la couette.

Elle se fourra sous la couverture, et juste sa tête dépassait du lit. Elle soupira. Elle soupira. Le lit était glacé, glacé. Il était tellement plus accueillant lorsque quelqu'un y était déjà, ou lorsque quelqu'un venait de partir. Elle réprima un autre soupire, et se persuada de fermer les yeux, elle pris une grand inspiration, ferma les yeux et se laissa lentement porter vers un autre monde. Un monde de rêve, rempli de couleur ( de dieux du stades ), où elle avait le loisir de voler vers les cieux ou bien de plonger vers les abîmes les plus profonds, dans un monde qui n'appartenait qu'à elle, son monde de rêve. Pendant ce temps, Aaron aussi avait rejoint le monde des rêves, le sien.


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